août 27, 2016

Le jean s’invite dans les cabinets comptables

Par Anne Gaignaire

Est­-ce la fin des bas bruns dans la comptabilité ? Après une campagne publicitaire en ce sens pour l’Ordre des comptables professionnels agréés il y a quelques années, voici que l’un des plus grands cabinets du Québec, PwC, met fin à son code vestimentaire interne. La firme a supprimé, en juillet, toute obligation vestimentaire pour ses employés. «On a voulu montrer qu’on est à l’écoute de nos employés et qu’on leur fait confiance. L’habillement est un moyen d’exprimer sa diversité, d’imprimer sa marque personnelle. On a vu que les vendredis, où le jean était accepté, étaient très appréciés, alors on a voulu faire un changement innovateur dans un milieu conservateur», explique Nicolas Marcoux, associé directeur national, bureau de Montréal et grandes villes de PwC.

PwC affirme être le premier grand cabinet du Québec à adopter une telle mesure.

Cependant, dans les plus petits cabinets, les habitudes vestimentaires sont déjà assouplies. «Chez nous, le style est plutôt décontracté. Plusieurs employés masculins portent la jeune barbe comme c’est la tendance en ce moment, la veste reste souvent accrochée sur le dossier de la chaise», constate Thomas McComber, associé du cabinet Lacharité McComber Kuczynski, qui compte 25 employés dont la moyenne d’âge est d’environ 25 ans, si on exclut les associés. Même si les fondateurs, dans la quarantaine, ont pensé imposer un code vestimentaire, ils y ont vite renoncé. «Avec les jeunes, on aurait du mal à imposer la cravate et on gagne à ne pas imposer de code. Ça brimerait les employés qui aiment avoir la liberté de s’habiller comme ils le souhaitent. Quand on supprime la règle, ça enlève des irritants et les gens se responsabilisent», poursuit Thomas McComber, qui constate que le style vestimentaire de ses employés reste très conventionnel.

S’adapter au style du client

La règle au cabinet Lacharité McComber Kuczynski, c’est plutôt l’adaptation. Car aujourd’hui, si le complet est encore de rigueur auprès de certains clients, souvent âgés et conventionnels, il n’est pas bien vu dans tous les milieux. «On travaille avec beaucoup d’entreprises technologiques, en cinéma et dans les arts. Certains de ces clients nous disent de venir en tenue décontractée», dit Thomas McComber.

La tendance pourrait être une lame de fond, car la profession a besoin de dépoussiérer son image. La tenue stricte et conventionnelle reflète un milieu conservateur. «Aujourd’hui, on a besoin de promouvoir un milieu de travail plus souple et de changer la perception de la profession comptable, souvent perçue comme rigide et ennuyante. Notre décision fera du bruit, cet automne, sur les campus. Ça va nous démarquer et améliorer notre image», affirme Nicolas Marcoux, pour qui le plus important est que «nos employés représentent notre image de marque et que les clients se retrouvent en nous».

Trouver le bon ton

Une tendance de fond que l’ensemble des cabinets n’est pourtant pas encore prêt à adopter. Du moins, pas tout de suite. Le cabinet Richter fixe toujours des lignes directrices en matière d’habillement. «Ce n’est pas un règlement, mais on veut s’assurer que la tenue soit professionnelle lors des rencontres avec les clients», indique Mindy Mayman, associée chez Richter. Comme dans de nombreux cabinets, la cravate obligatoire a été abandonnée, mais l’ensemble veste­chemise­pantalon pour les hommes et le tailleur pour les femmes sont toujours de rigueur. Sauf les vendredis, où le jean ­ sans trous ! ­ est accepté. «On attend encore de nos professionnels qu’ils soient conventionnels dans leurs tenues. Certains clients ont des attentes en la matière», soutient Mindy Mayman, qui ne voit pas l’abandon des lignes directrices pour bientôt, mais ne ferme pas à la porte à une évolution si une tendance de fond se fait jour. L’Ordre des comptables professionnels agréés a laissé aux cabinets le soin de commenter le sujet.

«Pour le moment, ça ne cause pas de tension avec les employés. Quand les plus jeunes entrent dans le cabinet à 22 ou 23 ans, cet habit formel les aide même à trouver le bon ton vis­à­vis des clients. Cela les pousse à faire attention à la façon dont ils s’assoient, dont ils s’expriment. Ils savent qu’ils ne sont pas en jean en train de parler avec leurs amis sur un canapé comme durant le week­end», poursuit l’associée.

Des jeunes qui, d’ailleurs, arrivent généralement déjà habillés selon les standards les plus classiques, bien conscients des règles parfois tacites du milieu.

mai 20, 2016

S’incorporer plutôt que s’associer

De gauche à droite : Thomas McComber, Geneviève Choinière-Lacharité et Rafal Kuczynski

Geneviève Choinière-Lacharité, Thomas McComber et Rafal Kuczynski sont tous trois dans la quarantaine. Ces anciens de Richter, où ils ont travaillé une dizaine d’années, ont constaté que les grandes firmes comptables ne sont pas adaptées aux petites PME, qui représentent pourtant un large marché au Québec.

Ils ont donc décidé de fonder leur propre cabinet pour les servir. Créé en 2010 dans le Vieux-Port de Montréal, il compte aujourd’hui 25 employés. «Notre clientèle cible, précise Geneviève Choinière-Lacharité, ce sont les jeunes entreprises du démarrage jusqu’à 50 millions de chiffre d’affaires.» Celles dont la feuille de route n’évoque encore rien tant elles sont jeunes mais qui sont amenées à croître.

Les jeunes CPA sont persuadés de pouvoir offrir un service plus adapté à ces PME grâce à leur proximité, des taux de facturation à leur mesure et des conseils de gestion également adaptés à leur taille.

Miser sur l’infonuagique

Le cabinet offre des services en fiscalité et en certification et, depuis peu, l’accès à un réseau national et international par le biais de son adhésion à l’association BHD. Sa particularité affichée : «Travailler de façon infonuagique c’est-à-dire qu’on propose une tenue de livres virtuelle et on peut travailler à distance avec les clients. Tous leurs documents importants sont archivés dans le nuage et sont accessibles de partout de façon sécurisée. C’est pertinent pour de nombreuses entreprises car c’est pratique et, en plus, on s’est rendu compte que les contrôles internes étaient généralement pauvres si bien que les sauvegardes sont rares, la sécurité des mots de passé insuffisante, etc.», souligne Rafal Kuczynski.

Afin d’apporter un vent de renouveau dans l’industrie et d’être plus proches de ses clients, le jeune cabinet n’a pas hésité à choisir un autre statut que la traditionnelle société en nom collectif dans laquelle chaque associé est indépendant.

Les trois collègues ont plutôt choisi l’incorporation, qui leur confère le mode de fonctionnement d’une entreprise classique. «Dans une société en nom collectif, le pouvoir bouge selon le capital : celui qui double son chiffre d’affaires prend plus de poids dans la firme. Tandis que dans une entreprise, on doit faire front commun, on va tous dans la même direction», souligne Geneviève Choinière-Lacharité.

Succès

Pour le moment, la stratégie de ces CPA gestionnaires d’un nouveau genre remporte un franc succès avec un taux de croissance de 30 % par an. La taille de la firme a doublé à la suite de l’acquisition d’un petit cabinet en 2013. Ses perspectives de croissance sont encore prometteuses. «Notre ambition est de doubler le nombre d’employés », affirme Thomas McComber.

La firme se trouve à la croisée des chemins : ses clients croissent et, pour continuer de les accompagner, elle devra «procéder à des acquisitions-fusions pour avoir une masse critique afin de pouvoir développer des expertises spécialisées notamment en R et D, en fiscalité américaine et en solvabilité », ajoute Rafal Kuczynski.

La priorité ira donc à l’ajout de services plutôt qu’à de nouvelles implantations géographiques. En attendant d’avoir une large gamme, le cabinet peut compter sur son partenariat avec BHD qui permet d’offrir des services complémentaires à ceux du cabinet. L’objectif des trois CPA, selon Thomas McComber : «se tailler une place dans les firmes de taille moyenne.»

Par Anne Gaignaire

Publié le 28/04/2016 par Les Affaires 

mai 3, 2016

Lacharité McComber Kuczynski accrédité comme membre montréalais d’une association comptable nationale

30 avril 2016, Montréal – Lacharité McComber Kuczynski (LMK) est fier d’annoncer leur accréditation comme nouveau membre de l’Association BHD, une association de cabinets comptables indépendants de taille moyenne représentée dans les plus grandes villes du Canada.

En tant que seul cabinet montréalais membre de l’Association BHD, LMK accroît significativement sa capacité à fournir du support, des références et une expertise spécialisée aux clients ayant des besoins commerciaux nationaux ou internationaux.

« Cette nouvelle alliance stratégique permet d’offrir à nos clients une assistance nationale et internationale. Nous sommes maintenant en mesure de gérer une offre de services comptables et fiscales dans toutes les juridictions canadiennes et de mieux encadrer la croissance de nos clients », a déclaré Thomas McComber CPA, CA, co-directeur de LMK.

Lacharité McComber Kuczynski accrédité comme membre montréalais d’une association comptable nationale.

janvier 22, 2015

Lacharité McComber Kuczynski lance un service de tenue de livres en mode infonuagique à l’intention des entreprises canadiennes

Montréal, le 22 janvier 2015-Lacharité McComber Kuczynski, un cabinet indépendant de comptables professionnels agréés, a annoncé qu’il avait conclu un partenariat avec Sage Amérique du Nord, un fournisseur de premier plan de logiciels comptables et de services aux petites et moyennes entreprises canadiennes depuis plus de 30 ans, avec Oriso Solutions inc., une entreprise spécialisée dans la livraison des applications dans l’infonuagique depuis 2006, et avec l’Institute of Professional Bookkeepers of Canada (IPBC), la plus importante association de techniciens comptables au Canada, afin d’offrir des services de tenue de livres en mode infonuagique aux entreprises canadiennes dont le chiffre d’affaires annuel atteint jusqu’à 5 millions $.

Ces services comprendront l’impartition complète ou partielle des tâches de tenue de livres à des techniciens comptables accrédités qui utiliseront Sage 50 Comptabilité Supérieur– Édition canadienne ou Sage One–Édition canadienne pour comptabiliser les opérations de leurs clients. Sage 50 sera accessible via une plateforme infonuagique hébergée dans des centres de données canadiens à la fine pointe de la technologie, éliminant ainsi la nécessité pour le cabinet ou ses clients d’installer le logiciel localement. De même, Sage One est une solution comptable infonuagique ne nécessitant pas l’installation d’un logiciel.

Thomas McComber, CPA, CA, associé co-directeur du cabinet comptable de Montréal, a déclaré : « Il est important de rehausser les standards, de normaliser les pratiques en matière de tenue de livres et de mettre en place de meilleurs contrôles internes au sein des petites et moyennes entreprises, de manière à ce que les entrepreneurs canadiens puissent atténuer les risques liés à une information financière erronée, à la fraude et à la perte de données ou à l’altération de dossiers informatisés, et qu’ils puissent se concentrer sur leur objectif principal : faire croître leur entreprise. »

« De nombreuses organisations plus petites sont à la recherche d’une solution afin de les aider à produire des informations financières, faire le suivi de leurs comptes clients et fournisseurs, de leurs travaux en cours, de leurs stocks et de leur masse salariale, ainsi qu’à produire des états financiers en temps opportun. Ces entreprises ne disposent habituellement pas des ressources nécessaires pour embaucher un comptable à plein temps et, par conséquent, ont besoin d’impartir cette fonction à un prix raisonnable. Nous avons rassemblé notre logiciel comptable préféré, un solide partenaire en matière de solutions infonuagiques et des techniciens comptables accrédités à travers le pays afin d’offrir ce que nous aimons appeler le Cloudkeeping », a renchéri Geneviève Lacharité, CPA, CA, associée co-directrice du cabinet.

« Les techniciens comptables accrédités seront en mesure d’offrir aux entrepreneurs l’expertise nécessaire afin d’assurer que leur tenue de livres et que leurs contrôles internes soient à la hauteur pour présenter aux dirigeants l’information financière fiable dont ils ont besoin pour gérer leurs entreprises. Les membres accrédités de l’IPBC doivent réussir un examen national de tenue de livres, respecter un code de déontologie, et sont tenus de maintenir un niveau élevé en matière de formation continue afin de conserver leur titre », affirme Louie Prosperi, chef de la direction de l’IPBC. « Ce partenariat avec Lacharité McComber Kuczynski constitue un choix parfait. Leurs objectifs, comme les nôtres, sont axés sur l’offre d’une expertise et de services comptables du plus haut niveau, ce dont les propriétaires de petites entreprises ont besoin afin de connaître le succès. »

« La transition vers la technologie infonuagique peut constituer un défi de taille, et certaines petites et moyennes entreprises canadiennes nous ont confié ne pas être tout à fait prêtes à faire le saut. Toutefois, elles désirent tout de même disposer d’un accès, de partout et en tout temps, à certaines de leurs données. Chez Sage, nous avons axé nos efforts vers l’offre de solutions infonuagiques hybrides qui élargissent la portée de leur application bureautique afin de leur offrir la flexibilité et l’accès à la technologie infonuagique » a ajouté Jennifer Warawa, vice-présidente et directrice générale de Sage Accountant Solutions. « Notre partenariat avec un chef de file du secteur de la comptabilité est tout naturel puisque le modèle infonuagique hybride de Lacharité McComber Kuczynski est très semblable à celui de Sage. Grâce à ce partenariat, nous serons en mesure d’offrir des solutions infonuagiques hybrides qui aideront les PME canadiennes à exploiter leur entreprise de manière plus efficiente, quels que soient les défis auxquels elles sont confrontées. »

À propos de Lacharité McComber Kuczynski 

Un cabinet indépendant de comptables professionnels agréés, situé à Montréal, Lacharité McComber Kuczynski fait bénéficier ses clients corporatifs d’une expertise pointue dans les domaines de la certification, de la comptabilité, de la fiscalité et des conseils d’affaires. Pour en savoir plus, visitez www.lmkca.com.

Source : Lacharité McComber Kuczynski

Pour demande d’entrevue :

Madame Paule Genest, ARP

PGPR, relations publiques

Courriel : paule@pgpr.ca

Twitter : @ypgpr

Cellulaire : 514-703-4317

novembre 27, 2014

Thomas McComber, Prix Excellence CPA – Cabinet Prix Excellence CPA

novembre 27, 2014

Thomas McComber, Prix Excellence CPA – Cabinet

Prix Excellence CPA

Pour la première fois, le Gala des Ambassadeurs a été le théâtre de la remise des prix Excellence CPA décernés à sept hommes et femmes qui font rayonner la profession dans leur milieu et qui se démarquent par leur leadership, leur dynamisme et leur engagement dans la collectivité. « Ces professionnels d’exception, qui s’illustrent par l’ampleur de leurs réalisations, incarnent les valeurs qui vont de pair avec le titre de CPA et sont de réels ambassadeurs de la profession comptable québécoise », a affirmé Alain Dugal, FCPA, CA, président du Conseil de l’Ordre.

Récipiendaires 2014 des prix Excellence CPA. Première rangée : Michel Samson, Alexandra Genest, Julie Chaurette
Deuxième rangée : Daniel McMahon, président et chef de la direction de l’Ordre, Michel Vézina, Thomas McComber, Nicolas Boivin, Absent sur la photo : Benoit Caron

L’EXCELLENCE AU RENDEZ-VOUS LORS DU GALA DES AMBASSADEURS DE L’ORDRE DES CPA DU QUÉBEC. Télécharger le communiqué de presse de l’Ordre des comptables professionnels agréées du Québec ici.

septembre 11, 2014

ANNONCE : Poste de directeur (trice) en certification

Lacharité McComber Kuczynski, un cabinet comptable en pleine expansion, situé au cœur du Vieux-Port de Montréal, est à la recherche d’un collaborateur (trice) de premier plan pour occuper le poste de directeur (trice) en certification au sein de l’organisation. Les candidats devront détenir le titre CPA, CA et avoir plus de cinq années d’expérience au sein d’un département de certification. Pour plus d’information visitez : www.lmkca.com ou envoyez votre candidature au : emploi@lmkca.com.

Plus d’information

mai 10, 2014

Thomas McComber, prix Excellence CPA – Cabinet

Félicitations aux lauréats des prix Excellence CPA!
Visant à rendre hommage aux CPA qui font rayonner la profession et qui se démarquent au quotidien par leur leadership,
leur dynamisme et leur engagement dans la collectivité, les prix Excellence CPA ont été décernés à 7 membres d’exception.

Les lauréats sont : Thomas McComber, prix Excellence CPA – Cabinet,  Julie Chaurette, prix Excellence CPA – Engagement social,
Nicolas Boivin, prix Excellence CPA – Enseignement (ex aequo), Michel Vézina, prix Excellence CPA – Enseignement (ex aequo),
Alexandra Genest, prix Excellence CPA – Jeune professionnel, Benoit Caron, prix Excellence CPA – Secteur public (ex aequo),
Michel Samson, prix Excellence CPA – Secteur public (ex aequo).

novembre 1, 2013

La nouvelle édition

septembre 27, 2013

Fusion de cabinets montréalais

Lacharité McComber Kuczynski S.E.N.C.R.L., Cabinet de Gilbert Masson, CPA et Gestion Corporative St-Paul inc., trois cabinets indépendants de comptables professionnels agréés de Montréal, ont annoncé leur unification sous le nom de Lacharité McComber Kuczynski inc. L’unification, qui prend effet le 23 septembre 2013, donnera naissance à un cabinet comptable de type boutique qui comptera quatre associés et vingt professionnels.

«Nous sommes enthousiastes à l’idée de nous joindre à l’équipe de Lacharité McComber Kuczynski inc.», déclare Gilbert Masson, CPA, CA. « Leur énergie, leur sens des affaires et leur esprit entrepreneurial bénéficieront tant à nos clients qu’à la croissance de nos activités au Québec».

«Nous sommes très heureux que se joignent à nous des cabinets bien implantés dans le marché montréalais depuis plus de vingt-cinq ans », indiquent Geneviève Lacharité, CPA, CA et Thomas McComber, CPA, CA, coassociés directeurs du nouveau cabinet. «Leur excellente réputation et la profondeur de leur offre de services s’arriment parfaitement à notre approche.»

Outre les services traditionnels de comptabilité et de certification, Lacharité McComber Kuczynski inc.(www.lmkca.com), offrira toute la gamme de services professionnels permettant d’accompagner les entreprises dans leur développement. En s’unissant aux cabinets de Gilbert Masson, membres du Groupe Servicas, l’un des plus importants réseaux de cabinets comptables indépendants au Québec, Lacharité McComber Kuczynski inc. accroît considérablement son réseau professionnel.

août 10, 2013

En 2013 Lacharité McComber Kuczynski a participé à INTERCONNEXION, un programme d’Emploi Québec pour l’intégration professionnelle des immigrants

« Le programme Interconnexion, réalisé en partenariat avec Emploi-Québec, a pour but de permettre un contact privilégié entre les organisations montréalaises et les nouveaux arrivants qualifiés pour favoriser leur intégration professionnelle. Ce programme répond autant aux besoins des entreprises qu’à ceux des immigrants grâce à une formule complète et flexible qui comprend des activités de jumelage gratuites et variées. » http://www.ccmm.qc.ca/fr/metropole/interconnexion#video

Le programme Interconnexion – Entreprises from CCMM on Vimeo.

août 10, 2013

L’immigration au cœur de la compétitivité – Chambre de commerce du Montréal métropolitain

Pour le cabinet Lacharité McComber Kuczynski comptables professionnels agréés (LMK), une PME du secteur de la comptabilité, l’attraction et la rétention d’une main-d’œuvre qualifiée sont devenues un défi de taille. Fondé en 2010, LMK emploie une dizaine de personnes et offre une multitude de services de certification d’états financiers, de fiscalité, de tenue de livres et de consultation aux entrepreneurs.

M. Thomas McComber, un des trois associés, estime que le plus grand défi du cabinet est de trouver les meilleures ressources humaines dans un contexte de concurrence vive, où les petits bureaux ont relativement moins de pouvoir d’attraction de talents que les plus grands : « Nous ne sommes pas inquiets pour le développement de nos affaires. Nous avons de quoi nous tenir très occupés. Nous avons cependant besoin d’une équipe plus large et solide pour soutenir toutes nos activités. »

Pour Mme Geneviève Choinière-Lacharité, associée chez LMK, les compétences de leurs employés sont au cœur de la qualité de leurs services : « Nos clients viennent nous voir pour nous confier leurs propres états financiers. C’est un domaine axé sur la qualité, la rigueur et la confidentialité. La performance et le bon jugement de nos employés sont ainsi au centre de nos préoccupations. Notre défi est non seulement de recruter les bonnes ressources, mais aussi de les former, de leur inculquer notre culture d’entreprise et bien entendu de les garder. Trouver une main-d’œuvre qui répond adéquatement aux besoins de l’entreprise exige du temps pour le recrutement et pour la formation. »

En plus d’être passionnés et motivés par leur profession, les candidats recherchés doivent détenir un diplôme de base (comme un baccalauréat en comptabilité) et être en voie de recevoir un titre de comptable. Pour les dirigeants de LMK, le fait qu’un candidat soit en cours de diplomation ou qu’il ait acquis ses compétences à l’étranger n’est pas un obstacle à l’embauche. Le plus important est la volonté de persévérer dans leur domaine et de rester le plus longtemps possible au sein de l’entreprise. C’est dans ce contexte que la main-d’œuvre issue de l’immigration est précieuse. On y trouve souvent des candidats qualifiés, motivés et pour qui l’expérience professionnelle acquise au Québec vaut son pesant d’or.

Pour LMK, l’aide et le soutien des organismes qui facilitent le rapprochement de l’entreprise avec les demandeurs d’emploi sont des plus pertinents. Grâce à eux, des économies de temps et d’argent sont réalisées dans la sélection et le recrutement de candidats potentiels issus de l’immigration, notamment dans des périodes cruciales pour l’entreprise. « Nous avons eu recours, pour la première fois, au programme Interconnexion de la Chambre afin de combler des besoins immédiats en main-d’œuvre durant la période de fin d’année financière, qui est très occupée dans notre domaine », a dit M. Rafal Kuczynski, associé de LMK.

« Lorsque nous avons réalisé qu’en plus de faire un tri préalable des candidatures et d’organiser des rencontres entre les candidats et les employeurs, le programme Interconnexion nous permettait de bénéficier, par le biais de stages, d’une période d’essai de quatre semaines, nous l’avons tout de suite adopté », a poursuivi M. Kuczynski. Pour les trois associés de la firme, ces stages permettent aux entreprises de répondre à leurs besoins et aux candidats d’avoir une expérience pertinente et d’obtenir des références dans leur domaine. C’est gagnant-gagnant.

CCMM.QC.CA/IMMIGRATION – Promotion avril – 2013.

juillet 10, 2013

Prix de la Relève d’Excellence 2013

M. Rafal Kuczynski est lauréat du prix Relève d’Excellence 2013. Le Prix Relève d’Excellence du Réseau HEC Montréal reconnaît le succès professionnel de diplômés de 35 ans et moins dans les catégories suivantes: Grande Entreprise, PME, Entrepreneur, Services de consultation.